Trop bien !

C’est lorsque tout à coup je me dis que quelque chose ou quelqu’un est trop beau ou trop bien pour moi que je sais que c’est justement par là que je dois chercher : rien n’est jamais trop beau ou trop bien pour moi.

Rien n’est jamais trop beau ou trop bien pour personne ;

Nous le valons tous et toutes bien.

Mon âme de philologue

Pour apprendre l’allemand, le pied ça serait d’avoir un prof érudit et savant qui prendrait bien son temps pour expliquer l’évolution de la langue en la comparant avec l’anglais. Comme ça j’apprendrai un peu l’histoire de l’anglais au passage. Je vois bien les racines latines. Est, ist, is. La conjugaison à déclinaison et la grammaire à cas qui rapproche du latin. De façon amusante je retrouve mon latin en apprenant l’allemand. Je vous bien aussi l’autre origine, la saxonne, ceux qui sont partis en Angleterre et qui ont forgés l’anglais. Je vois moins bien l’ascendance germanique. Ce point est totalement nouveau pour moi. J’ai tout à apprendre. Pour m’amuser vraiment il me faudrait un dictionnaire étymologique allemand, un dictionnaire étymologique anglais et des précis de linguistique historique des deux langues (et en français !). Mais mon petit doigt me dit que je ne vais probablement trouver cela qu’en allemand. Ils sont forts en philologie les allemands.
(Mes excuses auprès de mes lecteurs érudits et savants pour mes approximations à la louche -à trous-)

Paris-Harry’s

02/03/2019
Un des bars les plus mythiques de Paris et j’y suis, moi. Tranquillement posée. Bon, dans les livres, c’est toujours là que le héros en détresse ou pas vient retrouver ses contacts les moins louches, quoique, sait-on jamais. On se demande, on passe son temps à se demander. Sait-on jamais quel redoutable tueuse de sang-froid se dissimule sous l’aspect d’une paisible boulangère. Mais je m’égare, il n’y a pas de boulangère au Harry’s bar. Toujours sélect. La crème de la crème, que des bons. Alors voilà, j’étais là au Harry’s bar, attendant mon contact tranquillement en apparence, les mains secrètement moites, j’avais eu une nuit pénible et une longue journée. La carte bleue avait chauffée mais enfin je sentais bon, vêtue de neuf de pied en cap. Coiffée et manucurés. Bijoutée et maquillée. Mon hôtel réservé, j’étais sereine. Plus que ce dernier rendez-vous et j’en avais fini. La retraite, enfin.
 
(A suivre, quoique)