Paris

Cache cache avec le soleil. Il fait un peu froid pour un mois d’août. On a bouffé les pigeons. Les feuilles sont tombés. Plus un radis. J’envisage le casse. Ya le choix en banque. Filée comme jamais, à ce point on peu dire poursuivie. J’ai mis les lunettes de soleil pour me fondre dans la masse. Une main sur le volant, l’autre sur la caisse, cheveux un peu fous au vent, les pieds mouillés de la.rosée du matin mais vaillante. Je survole le bitume. Je m’arrête là. Il pleut.

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